Impression 3D bio-jet d'encre

IPC – INNOVATIVE POLYMER COMPOUNDS intensifie sa démarche dans les composés d'intégration Osseo en rejoignant le consortium CHIRON.

L'ingénierie des tissus humains est le domaine général dans lequel IPC serait impliqué avec le consortium CHIRON. www.chiron-biotech.com Chiron est une collaboration internationale entre deux PME(Concr3de BV et IPC – Innovative Polymer Compounds) et deux centres de recherche(Centre médical universitaire d'Utrecht et le . Trinity College de Dublin).).

Pour CHIRON, l’objectif d’IPC est de développer une nouvelle gamme allant jusqu’à 120 composés polymères pouvant être utilisés pour l’impression 3D (ou fabrication additive). La méthode d’impression 3D est appelée « bio-jet d’encre ». Aucun autre fabricant de polymères ne propose cette méthode.

Nous fournirons le matériau (le composé polymère) que notre partenaire Concr3de www.concr3de.com utilisera pour l'impression 3D bio-jet d'encre.

Les cellules humaines du dispositif interagiront ensuite au niveau moléculaire avec les cellules humaines du corps (en dehors du dispositif médical). Au final, elles s’uniront ensemble. Un exemple en est le cartilage humain imprimé en 3D.

La difficulté qu’IPC doit surmonter est de trouver un composé approprié (mélange de polymères et d’additifs) qui fonctionnera avec les cellules humaines ajoutées lors de l’impression 3D

Mise à niveau à partir de produits existants

Les matériaux alternatifs actuellement disponibles pour les tissus humains 3D, tels que les os, manquent souvent de résistance mécanique, ont une biocompatibilité et une porosité sous-optimales empêchant la vascularisation.

IPC et le groupe CHIRON développeront des encres et des poudres bio, ainsi que des méthodes uniques pour aller au-delà de ces limitations.

IPC développera des matériaux composés qui fournissent la résistance mécanique et des polymères naturels plus favorables à la fixation, à la prolifération et à la différenciation cellulaire.

Le groupement CHIRON créera un tissu mécaniquement résistant, bio-résorbable, disponible dans le commerce, aux formes personnalisables et adaptables. Le groupe présentera, en outre, comment le système d’impression 3D peut être utilisé pour le bio-printing des tissus cartilagineux et osseux. Le groupe imprimera des réseaux de micro-chambres de bio-polyester et de phosphate tricalcique qui fonctionneront comme des supports pour guider la croissance et l’organisation des chondrocytes pour l’ingénierie tissulaire.